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Le terme « manga » est composé de 2 idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui veut dire, d’après le contexte, l’imprécision ou la nouveauté, et « ga » qui désigne le reflet . On pourrait à ce titre s’habiller « manga » par « dessin au rai aisé » ou bien épure au gré de la folklore ». On trouve aussi la translation par « exemples étriqués », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le premier à avoir expérimenté ce terme pour désigner ses catalogues de dessin et de brouillon. à présent, au soleil levant, le mot est utilisé pour spécifier les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.Toujours pour les enfants auquel les hormones bouillonnent, le Pantsu, qui vient du mot « helvétisme », soit « pantalon », raconte fréquemment l’histoire d’un jeune babtou fragile au milieu de demoiselles dont est témoin souvent leurs layette. Ces plus récentes vont à un certain temps tomber amoureuses de lui. Mais généralement, c’est l’amie d’enfance qui réussit à fouler le courageux au bout. Comme quoi la friendzone peut être vaincue. Ce genre de manga est pour un vogue de juvéniles qui aime porter des mini-jupes. Il met en scène des jeunes filles propriétaire des effets mystiques. C’est avec leurs capacités et leurs vêtements enfants qu’elles combattent le Mal, donnant fréquemment en difficultés leur parcours didactique. A la fin elles sauvent le monde toutefois n’ont pas leur proportion. Merci l’Education Nationale.Le yonkoma continuera de tenter avec Mes voisins les Yamada ( 1991 ) de Hisaichi Ishii, adapté des années un autre moment au ciné par le studio Ghibli. Des séries sous prétexte que Azu Manga Daioh ( 2000 ), K-On ( 2007 ) ou alors Lucky Star ( 1999 ) en sont d’autres descendants plus récents. Mais dès Sazae-San, les principes sont installées : du réalisme en premier lieu, beaucoup d’humour et un trajectoire commode. De même, les apartés en fin de gabarit que une multitude de mangakas utilisent pour communiquer avec les lecteurs et lectrices sont, eux aussi, des yonkoma. Nul doute que la qualité de Sazae-San y est pour beaucoup : effectivement, l’anime de 1969 est en permanence en préparation de diffusion et compte… plus de 6 000 épisodes.Cat’s Eye est l’une des premières grandes séries de Tsukasa Hôjô, avant City Hunter ( Nicky Larson ) puis family unit Compo ou Angel Heart. Écrivant déjà les lignes de ce qui sera le féminin de le créateur, l’histoire met en podium un cadre classique sans pouvoirs spéciaux ou évènements surnaturels. La force de Cat’s Eye repose sur son complot passionnante dans un jeu du chat et de la souris, en résumé très bon enfant. Mais la gestion de Hôjô sur la fabrication des figurines et la cadence constamment insolite ont trompé l’attention des lecteurs, dans une atmosphere très marquée par les années 1980. Le mangaka affinera son féminin en même temps de sa carrière, sans en aucun cas échanger cette œuvre référencielle.Passons aux Shonen, notamment les Nekketsu qui sont les plus communes. Mangas destinés à la base aux petits garçons, les genres y sont multiples. Le courageux, un jeune garçon souvent orphelin va chercher à atteindre un objectif grâce à une ligne de comédien alliés, devant toujours s’améliorer et devenir plus fort pour espérer atteindre son but. On y exhortation des vertus comme l’amitié, la opiniâtreté, la ténacité et la manœuvre de dépassement de soi. Ici on met l’accent sur l’activité. Le style est plus vif, plus tranché et plus entreprenant. On s’attarde sur le look de petits personnages et leur charisme, la stratégie dans les échauffourée, etc.Contrairement à ce que l’on peut penser, Kitarô le atroce est en fait… une tromperie. Shigeru Mizuki bâti son personnage bouée en 1959 et connaîtra un immense succès au soleil levant, vu que en témoigne ses nombreuses actualisations en changeant et en film ( le dernier long métrage journée à peu près de 2008 ). Le compétence et la mise en page du mangaka sont plutôt conventionnels, la activité de mueck se situant plutôt dans ce qu’il est parvenu à faire du mythologie des monstres asiatique. Tout en leur acheminant un design inédit tantôt outrancier, soit amusant, il va parlementer à ses chaos et ses personnages une dimension folklorique mouvant de la noir à l’originalité.
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